Le Journal

Texte presse :

CushmoK présente « Si demain, je pouvais revivre hier », une autofiction narrative basée sur des souvenirs d’enfance jusqu’à l’âge de 12 ans au Niger. Cette œuvre ne repose pas sur des images réelles ou des photographies, mais sur des souvenirs personnels, transcendant la réalité de l’époque.

L’œuvre se compose de deux séries d’images, toutes créées à l’aide d’outils d’intelligence artificielle. La première série utilise l’IA Midjourney pour générer des représentations des souvenirs d’enfance de l’auteur, tandis que la seconde série s’appuie sur des photographies d’enfance, argentiques, modifiées et étendues par l’IA Adobe Firefly.

Pour cette exposition, CushmoK crée une installation dans une pièce sombre où les images sont accrochées au mur, parmi des notes manuscrites, des dessins, des documents, des objets… les visiteurs plongent dans cette mémoire révélée à la lumière de leur téléphone.

CushmoK explore à travers cette installation la notion d’ambiguïté dans la représentation des souvenirs et l’impact des images artificielles sur la perception des réalités, présentes et passées. Le projet vise à plonger dans la subjectivité de la mémoire, reflétant la perspective d’un homme de 50 ans sur son enfance.